Ce qu'il faut savoir…

Notre
expérience
Comme plus d’une centaine de maladies auto-immunes ont été répertoriées, quelques informations ci-dessous aideront à en comprendre la diversité.
Fausses-couches à répétition.
Ce drame est trop souvent dû à la maladie auto-immune dite syndrome des Antiphospholipides ou maladie de Hughes, causant un état d’hypercoagulabilité.
Arythmie cardiaque.
Maladie de Grave ou hyperthyroïdie. Celle-ci se distingue simplement de l’hypothyroïdie par un autoanticorps supplémentaire contre les cellules pariétales.
Intestin Irritable.
Que ce syndrome soit révélé par une allergie au gluten ou aux laitages, ou bien par des douleurs tout au long du tube digestif, il révèle trois possibilités de maladies auto-immunes potentiellement cancérigènes : la maladie cœliaque, la maladie de Crohn et la colite ulcérative.
Jambes sans repos.
Ce syndrome épuisant, car il empêche de dormir, est une maladie auto-immune en tant que tel.
Allergie anaphylactique
C’est une dangereuse surprise de sentir subitement les voies respiratoires se contracter par suite d’une première piqûre de guêpe, de la consommation d’un aliment nouveau ou d’une prise de nouveau médicament. Il y a urgence et le traitement par énergétique évite la nécessité d’injections d’adrénaline en urgence.
Maladies dégénératives.
À l’origine de toute maladie dégénérative se trouve une cause auto-immune. Des anticorps déclenchent la malformation de certaines protéines et d’autres empêchent leur réparation naturelle par l’organisme. Ainsi, avant de se soucier des plaques amyloïdes de Parkinson ou Alzheimer, il faut dépolariser les auto-anticorps caractéristiques.
Dégénérescence maculaire due à l’âge.
Facile d’accuser l’âge quand il s’agit d’une rétinopathie auto-immune. Il est recommandé à ce sujet de consulter « Epidemiology of Ocular Manifestations in Autoimmune Disease » dans
https://www.sciencedirect.com › science › article › pii › S1568997222000921.
Règles de déontologie en immunothérapie par énergétique
Comme nous nous efforçons d'établir une relation avec le corps médical semblable à celle entre les chirurgiens et les kinésithérapeutes, il est fondamental que tout thérapeute qui peut être considéré comme praticien de l'ITE respecte un ensemble minimum mais exigeant de règles de déontologie.
1. Le praticien de ITE s’engage à prendre en compte la totalité des symptômes du patient et à traiter en priorité ceux qui apporteront au plus tôt un mieux durable.
On assiste à des comportements indéfendables par lesquels certains praticiens se contentent d’une démarche périmée sans souci pour les symptômes prioritaires des patients.
Le même appât du gain facile en conduit plus d’une (ou d’un) à lancer des formations onéreuses et sans rigueur scientifique, ni lendemain (ni résultats).
2. Le praticien de ITE reconnaît qu’il n’y a pas de spécialiste en fonction du type d’organes à traiter mais seulement en fonction du type de symptôme à soigner.
Typiquement un grand nombre de maladies auto-immunes ont une expression oculaire spécifique ainsi qu’une hypertension localement inflammatoire.
On assiste à des problèmes dus à la séparation entre spécialités médicales comme l’hypertension cardiaque et le glaucome, dont les interférences médicinales causent des dégradations émotionnelles.
3. Le praticien de ITE s’engage à traiter les patients qui viennent à lui, par la pratique de ITE essentiellement, et non en, mélangeant plusieurs thérapeutiques. Typiquement, tout conseil en nutrition est donné gratuitement.
La vraie exclusive est de ne pas transformer l’ITE en un appât pour ensuite détourner les patients vers des pratiques plus faciles et plus rémunératrices.
4. Le praticien d'ITE met à la disposition de tout patient, à la fin de chaque séance, la liste des symptômes ou maladies traitées ce jour-là, ainsi que la liste des fioles utilisées en spécifiant s'il s'est agi d'un seul ou de plusieurs traitements successifs.
Conformément aux lois Kouchner en France, le patient doit être en mesure d'informer ses autres thérapeutes ou médecins des traitements ITE dont il a bénéficié.
5. Le praticien de l'ITE s'engage à expliquer aux patients et à promouvoir la compréhension du fonctionnement d'un corps sain selon les lois de la physiologie intégrative.
Trop de patients ne comprennent rien au fonctionnement de leur corps et deviennent crédules en face d’interprétation erronées et dangereuses de leurs symptômes.
7. Le praticien d'ITE peut accepter de traiter à distance un patient empêché de venir à son cabinet, par un handicap, par la distance, par une hospitalisation… mais seulement si le patient se déclare explicitement demandeur pour ce soin.
Une bonne pratique requise par des suppléants en pareil cas consiste à ce que le patient envoie une photo de soi pour que le suppléant puisse mieux se projeter avec la nécessaire empathie.
8. Dans le processus de recherche de la cause d’un traumatisme, le patient doit comprendre où mènent la suite de questions et réponses inconscientes afin de pouvoir autoriser ou refuser la poursuite du questionnement.
Une telle règle de respect du patient est essentielle en psychologie pour éviter des interférences pouvant aboutir à des suggestions de souvenirs inventés.
9. Devant tout nouveau patient, l’immunothérapeute doit se rappeler que malgré toute son expérience, il ne connaît pas ce cas devant lequel il n’est qu’un débutant.
Cette règle de comportement humble des vrais guérisseurs fait partie des clauses du non-dit qui assurent la confiance inconsciente du patient en son thérapeute.
Un brin de
philosophie
Les trois quarts des patients atteints d’une maladie auto-immune sont des patientes. Cela s’explique par le rôle d’une protéine Xist qui n’est active que chez les femmes et surtout par l’action d’un auto-anticorps (A-Xist-Ab). Mais heureusement…
Un extrait de « la femme et son ombre » par Silvia di Lorenzo (1989), psychanalyste Jungienne, permet de comprendre la forte majorité féminine parmi les praticiens de l’immunothérapie par énergétique contre les maladies auto-immunes.
Citation : « Marie-Louise von Franz dit que l’esprit féminin est généralement plus près de la nature : ce qui est généralement refusé par l’opinion commune et la pensée scientifique est souvent recueilli par les femmes. À moins qu’elle ne soit possédée par un Animus rigide et rationaliste, la femme a sur l’homme l’avantage d’être plus libre et plus élastique en ce qui regarde les idées scientifiques et le monde du Logos en général, parce que d’habitude pour elle un changement dans ce domaine n’est pas d’importance vitale. »
Pour rappel, l’Animus est la personnalité masculine dans l’inconscient de la femme, tandis que l’Anima d’une femme est son apparence, l’Éros.
Symétriquement, l’animus d’un homme est son apparence, le Logos, tandis que l’Anima est la personnalité féminine dans l’inconscient de l’homme.
Il faut donc ajouter qu’il en est de même des hommes à Anima saine et forte.
