Ce qu'il faut savoir…
Notre
expérience
Comme plus d’une centaine de maladies auto-immunes ont été répertoriées, quelques informations ci-dessous aideront à en comprendre la diversité.
Fausses-couches à répétition.
Ce drame est trop souvent dû à la maladie auto-immune dite syndrome des Antiphospholipides ou maladie de Hughes, causant un état d’hypercoagulabilité.
Arythmie cardiaque.
Maladie de Grave ou hyperthyroïdie. Celle-ci se distingue simplement de l’hypothyroïdie par un autoanticorps supplémentaire contre les cellules pariétales.
Intestin Irritable.
Que ce syndrome soit révélé par une allergie au gluten ou aux laitages, ou bien par des douleurs tout au long du tube digestif, il révèle trois possibilités de maladies auto-immunes potentiellement cancérigènes : la maladie cœliaque, la maladie de Crohn et la colite ulcérative.
Jambes sans repos.
Ce syndrome épuisant, car il empêche de dormir, est une maladie auto-immune en tant que tel.
Allergie anaphylactique
C’est une dangereuse surprise de sentir subitement les voies respiratoires se contracter par suite d’une première piqûre de guêpe, de la consommation d’un aliment nouveau ou d’une prise de nouveau médicament. Il y a urgence et le traitement par énergétique évite la nécessité d’injections d’adrénaline en urgence.
Maladies dégénératives.
À l’origine de toute maladie dégénérative se trouve une cause auto-immune. Des anticorps déclenchent la malformation de certaines protéines et d’autres empêchent leur réparation naturelle par l’organisme. Ainsi, avant de se soucier des plaques amyloïdes de Parkinson ou Alzheimer, il faut dépolariser les auto-anticorps caractéristiques.
Dégénérescence maculaire due à l’âge.
Facile d’accuser l’âge quand il s’agit d’une rétinopathie auto-immune. Il est recommandé à ce sujet de consulter « Epidemiology of Ocular Manifestations in Autoimmune Disease » dans
https://www.sciencedirect.com › science › article › pii › S1568997222000921.
Un brin de
philosophie
Les trois quarts des patients atteints d’une maladie auto-immune sont des patientes. Cela s’explique par le rôle d’une protéine Xist qui n’est active que chez les femmes et surtout par l’action d’un auto-anticorps (A-Xist-Ab). Mais heureusement…
Un extrait de « la femme et son ombre » par Silvia di Lorenzo (1989), psychanalyste Jungienne, permet de comprendre la forte majorité féminine parmi les praticiens de l’immunothérapie par énergétique contre les maladies auto-immunes.
Citation : « Marie-Louise von Franz dit que l’esprit féminin est généralement plus près de la nature : ce qui est généralement refusé par l’opinion commune et la pensée scientifique est souvent recueilli par les femmes. À moins qu’elle ne soit possédée par un Animus rigide et rationaliste, la femme a sur l’homme l’avantage d’être plus libre et plus élastique en ce qui regarde les idées scientifiques et le monde du Logos en général, parce que d’habitude pour elle un changement dans ce domaine n’est pas d’importance vitale. »
Pour rappel, l’Animus est la personnalité masculine dans l’inconscient de la femme, tandis que l’Anima d’une femme est son apparence, l’Éros.
Symétriquement, l’animus d’un homme est son apparence, le Logos, tandis que l’Anima est la personnalité féminine dans l’inconscient de l’homme.
Il faut donc ajouter qu’il en est de même des hommes à Anima saine et forte.