Notre expérience en Immunothérapie par Énergétique
L'Immunothérapie par Énergétique commence avec un diagnostic par test de Kinésiologie Appliquée et procède selon le cas au traitement des maladies autoimmunes, ou aux immunisations contre des infectants, en utilisant des techniques énergétiques avancées et personnalisées pour chaque patient.
Notre parcours dans l'Immunothérapie par Énergétique
Découvrez notre cheminement dans le domaine de l'immunothérapie par énergétique face à la diversité des symptômes, nos principales réalisations et notre engagement à offrir des soins innovants et efficaces en bon accord avec la médecine officielle. Nous mettons l'accent sur l'individualisation des traitements pour chaque patient et sur l'intégration des approches énergétiques avec la médecine traditionnelle.
Rencontrez notre équipe de professionnels expérimentés dans le domaine de l'Immunothérapie par Énergétique. Nous partageons une vision commune de l'avenir de la médecine et nous nous engageons à fournir des solutions de soins novatrices et holistiques.
L'Immunothérapie par Énergétique contre les maladies dites chroniques
TÉMOIGNAGES
Des symptômes très divers
Voici un petit témoignage simple sur mon expérience avec l’immunothérapie par énergétique vis à vis de l’asthme :
Souffrant d’asthme (grosses gênes respiratoires) depuis de nombreuses années, j’ai été soulagée grâce aux traitements par l’immunothérapie par énergétique qui m’ont permis d’arrêter tous médicaments. Je m’essoufflais quand je montais un étage, je ne pouvais pas faire plus d’un km en courant et dernièrement, j’ai pu courir un marathon sans aucune difficulté ! Grâce à l’immunothérapie par énergétique je me sens libérée et je mène une vie normale avec beaucoup d’activités sportives.
Viviane
Témoignage sur un Purpura thrombopénique idiopathique (PTI) :
Atteinte d'un PTI, survenu très brutalement après un traitement à l'amoxicilline (pour problème pulmonaire).
Chute brutale et complète des plaquettes.
PTI résistant aux corticoïdes, peu réactif aux perfusions d'immunoglobulines, 4 semaines d'hospitalisation.
Traitement avec stimulateur de moelle, provoquant urticaire obligeant arrêt du traitement, au bout de 15 jours. Les plaquettes remontent malgré tout.
Le taux de plaquettes est très instable. Autour de 100.
Première séance.
Très confiante, mais surprise de cette méthode de soins, complètement inconnue pour moi.
Je connais seulement un peu l'homéopathie, l'ostéopathie, pas l'acupuncture ni la médecine chinoise, je fais confiance et ai toujours été toujours réceptive à ce qui peut stimuler l'énergie en nous, étant par ailleurs sportive et en bonne santé
Tous les tests effectués sont cohérents, trouvent les anomalies (médicamenteuses ou vaccinales) et l'on me fait un "traitement", surprenant aussi pour moi.
Et souhait de me revoir une deuxième fois.
Un mois s'écoule, pendant lequel les dosages de plaquettes fluctuent entre 130 et 180, mais restent bien au-dessus du niveau critique.
Deuxième séance.
Quelques tests de vérification, aucune anomalie.
J'ai retrouvé mon énergie et me considère guérie !
Isabelle
Témoignage sur l'évitement d'une greffe de moelle osseuse :
Diagnostiquée d'une aplasie médullaire idiopathique en juin 2021, la solution médicale que l'on m'a proposée était une greffe de moelle osseuse avec au préalable une forte chimiothérapie afin de détruire le reste de ma moelle osseuse et ainsi pouvoir accepter le greffon. Cette solution radicale comportait des séquelles à vie avec notamment une atteinte de ma fertilité, que je n'étais pas prête à prendre. C'est ainsi que par une amie nous avons entendu parler de ce thérapeute et de son travail. Étant pharmacienne, je fus au départ assez septique de cette méthode, mais je décidai de lui faire confiance.
Au cours des séances d'immunothérapie énergétique, avec ses explications et mes connaissances scientifiques, je compris au fur et à mesure son travail, comment il fonctionnait. Petit à petit mon taux de plaquettes est remonté, en quelques mois je suis passée de thrombopénique sévère avec un taux de plaquettes en dessous de 20 000/ mm3 dépendante de transfusions sanguines (sang et plaquettes) à un taux supérieur à 80 000 /mm3. Aujourd'hui, un an après ma dernière séance avec mon thérapeute, je suis toujours stable et indépendante des transfusions sanguines à la grande surprise de mon hématologue qui m'avait prédit une rechute. Grâce à mon thérapeute et son travail sans relâche, je n'aurai pas besoin de greffe de moelle osseuse et je peux mener une vie tout à fait normale.
Cette approche scientifique permet de prendre la maladie dans sa globalité et non pas juste traiter les symptômes comme le fait l'allopathie aujourd'hui. Je lui suis très reconnaissante pour son temps, sa patience et son implication.
Adèle
En 2018, à mes 22 ans, on m'a diagnostiqué un lymphome d'Hodgkin.
En médecine classique, le raisonnement est :
Une maladie --> des symptômes --> les traitements chimiques pour les éradiquer.
Les chimiothérapies sont dévastatrices. Même sur le long terme : augmentation du risque de développer un autre cancer dans les 10 années à venir, le cartilage de mes articulations est détérioré, ma peau est devenue photosensible, j'ai été sujette à des infections urinaires (entre 10 et 15 en 1 an)... Je ne me reconnaissais pas dans cette médecine chimique avec leurs doses colossales de toxines que l'on fait subir à notre corps et leurs listes à rallonge d'effets secondaires inquiétants.
Des remèdes plus naturels me sont devenus primordiaux.
De plus, dans cette équation, il me manque la cause. Pourquoi ai-je développé la maladie d'Hodgkin ?
Lorsque je posais cette question en médecine classique (à trois hématologues et un radiothérapeute), les réponses étaient vagues et brèves "On ne sait pas exactement" comme si ce n'était pas important. On m'expédiait ma plus grande préoccupation.
Une seule personne a su y répondre, avec expertise et lucidité.
J'ai rencontré ce thérapeute et découvert son approche thérapeutique quelques mois après la fin de mes traitements chimiques.
Contrairement en médecine classique, ce thérapeute m'a traitée et soignée directement contre l'origine de ma maladie, à savoir le virus Epstein Barr. (J'y étais toujours sensible, comme quoi, en réalité, je n'étais pas guérie avec la médecine classique.)
En prenant le temps de m'expliquer les causes à effet, le processus d'évolution, grâce à lui, j'ai énormément appris sur moi-même. J'ai enfin eu le sentiment d'être réellement écoutée par un thérapeute. Il m'a redonnée confiance.
Dans son processus de guérison, notre corps est boosté pour se défendre et se régler convenablement par lui-même. Notre corps est donc acteur de sa guérison.
Cerise sur le gâteau, sa méthode est inoffensive.
N'est-ce pas là, la vraie médecine ?!
Parlons de ces méthodes, elles valent le détour.
Ce thérapeute était l'un des seuls à savoir vraiment ce qu'il fallait faire dans mon cas.
Il m'a sauvé la vie.
Anne-Solenne
Après un traitement contre la maladie Cœliaque :
Hier matin, j'ai réintroduit le gluten, en mangeant une moitié de brioche, je me suis surprise à constater qu’aucun symptôme n’apparaissait. Nous pouvons donc dire que je suis définitivement guérie !! Après de longues années de régime strict, quelle délivrance de pouvoir goûter à tout...
Je ne saurais comment vous remercier pour tout ce que vous avez fait, cela parait irréel. Je tire plusieurs enseignements de mon traitement. Étant en études de médecine, vous m’avez appris que les maladies des Hommes ne rentrent pas dans des cases et m’avez convaincue de garder un esprit critique sur les protocoles appliqués. Il est évident que j’aimerais ajouter à mes connaissances universitaires, la méthode total reset.
Merci beaucoup,
Martine
Pour un syndrome inflammatoire aigu :
J’ai observé pendant 18 mois ma fille Marie, 9 ans, sombrer dans un état d’épuisement dans les suites d’une infection covid pour laquelle elle a été pourtant peu malade. Elle manquait souvent l’école, avait des accès de fièvres à 39.5°C, des douleurs articulaires et musculaires invalidantes qui la réveillaient parfois la nuit.
À noter qu’à l’âge de 2 ans Marie a fait une mononucléose cognée, certifiée par la sérologie.
Le diagnostic de réactivation EBV a été assez rapidement fait par son pédiatre, qui, après quelques mois sans amélioration, inquiet d’une pathologie de système, a demandé un suivi spécialisé à l’hôpital.
Aucun traitement n’a été proposé en dehors d’une programmation de bilans tous les mois en hôpital de jour afin de confirmer la maladie auto-immune et ainsi initier une biothérapie.
Lorsqu’un praticien utilisant la technique d’immunothérapie par énergétique a été sollicité, 18 mois après le début des symptômes, les IgM VCA étaient encore positifs avec des IgG VCA en augmentation constante, contrastant avec des IgG EBNA faibles, charge virale élevée. La VS était à 106, la CRP à 32, Ferritine à 275 avec à l’électrophorèse des protéines une augmentation importantes des alpha 1 et alpha 2 globulines, le tout signant un syndrome inflammatoire aigu.
Les différents tests énergiques ont révélé :
- un syndrome d’activation mastocytaire (MCAS)
- des anticorps anti-cytoplasme des polynucléaires neutrophiles (c-ANCA) (confirmé ensuite par la prise de sang : très positifs à 160)
- un mycoplasme genitallum (confirmé ensuite par la sérologie très positive en IgM et IgG)
- un EBV Lysogénique
Le traitement a comporté deux séances d’une heure environ puis 5 séances rapides de 10 minutes pour effectuer une régulation descendante de l’EBV. Aucun traitement médicamenteux.
Très rapidement ma fille a quitté le canapé, les douleurs ont régressées, il n’y a plus eu d’épisode de fièvre.
1 mois après, au rendez-vous programmé à l’hôpital de jour, ils ont pu confirmer la disparition du syndrome inflammatoire : la VS était descendue à 30, la CRP à 2, ferritine à 98, l’électrophorèse des protéines normalisée.
De même les c-ANCA s’étaient négativés, EBV-DNA < 312, signant la fin de l’épisode de réactivation.
Marie a repris vie sans fièvre et sans douleurs échappant de justesse à un avenir plus que sombre….
Toute ma gratitude et mes remerciements pour l’expertise et de l’efficacité du thérapeute.
Nathalie
Contre un Virus Papillome
Suite à un frottis gynécologique, j'ai été diagnostiquée d'un papillomavirus HPV 19 en août 2022, un des plus agressifs m'a-t-on dit, avec le HPV 18.
A 34 ans, je n'avais aucune envie de développer une maladie grave.
La colposcopie n'a pas eu de retombées inquiétantes, mais je savais qu'il faudrait un suivi chaque année ensuite pour vérifier que celui-ci ne dégénère pas.
J'ai reçu un traitement par immunothérapie en décembre 2023 par énergétique, traitement couplé à l'homéopathie. Après la séance, je savais que ce ne serait qu'une histoire ancienne.
En août 2024, je refais mon frottis de contrôle et plus aucune trace de HPV n'est détectée.
Je dois refaire un contrôle régulier, mais cela reste un soulagement de savoir qu'une méthode comme celle-ci peut grandement aider au lieu d'attendre passivement que le corps ne développe ou non quelque chose.
Je l'en remercie vivement !
Julie
Témoignage de mes observations et réflexions.
Au moment de mon mariage à 30 ans, la balance indiquait 58 kilogrammes. Après la naissance de nos cinq enfants, neuf années plus tard, mon poids atteignait 78 kg pour longtemps.
Aucune solution personnelle ou médicale ne m'a permis de perdre tant soit peu de poids, de façon durable :
* les tentatives par privations quotidiennes ont été contraignantes moralement et physiquement
* les coupe-faim non médicamenteux et
* les compléments alimentaires sont restés à long terme inefficaces
* le bon sens qui englobe la consommation suffisante d'eau, les heures de sommeil, la pratique régulière du sport et manger lentement n'aura pas suffi.
En l'espace de 2 ans environ, l'intervention de cette méthode a mis fin à ce déséquilibre interne traîné pendant plus de 25 ans. Déséquilibre manifesté par
- des fringales
- des compensations incontrôlées du stress par la nourriture
- des consommations importantes et très fréquentes d'aliments particuliers et par périodes
- une dépendance par rapport au sucre
Le changement radical, régulier, progressif, ni trop lent ni trop rapide et surtout durable et stable depuis 3 ans, m'aura amenée à perdre enfin la masse de 11 kg soit concrètement environ 2 packs de 6 litres d'eau.
Cette perte de poids a été vécue sans effet secondaire, sans privation ni frustration, sans obsession ni effort, sans carence alimentaire ni fringale, sans reprise de poids, sans aide chimique ni complément alimentaire. Période au cours de laquelle j'ai veillé à la ration quotidienne de légumes et fruits, la pratique de la marche, vélo ou ski de fond. Le sommeil est redevenu plus réparateur, l'aisance à la marche améliorée et l'essoufflement lors de montées disparu, les mauvais liens par rapport à la nourriture envolés.
Ainsi, pourrai-je dire que cet amaigrissement s'est fait "malgré moi" ou "sans moi".
Est-il nécessaire d'insister sur l'aisance et le confort de vie, le meilleur moral et la vie quotidienne sans souci ni restriction ?
Retrouver une taille inférieure de vêtements : très flatteur.
La perte de poids n'a pas été l'unique raison de mes consultations auprès de ce thérapeute.
En effet, la pandémie sévissait, le Covid 19 savait être létal. L'immunisation contre ce virus m'a protégée très efficacement sans les effets secondaires parfois observés lors des vaccinations.
Par ailleurs, je ne peux manquer de mentionner ma fille âgée de 28 ans atteinte d'un neuroblastome à 12 mois, d'un lymphome à 22 ans suivi de kystes cancéreux aux reins. Le 1er diagnostic établi à l'âge de 1an nous la décrivait "en danger de mort", n'ayons pas peur des mots, sans dramaturgie. Jusqu'où son système immunitaire déficient allait-il l'entraîner ?
Ce thérapeute a décelé une mononucléose contractée pendant les années de lycée, non diagnostiquée, donc virus d'Epstein-Bar, donc lymphome de Hodgkin, donc kystes rénaux, donc cycle infernal sans issue ...
Ce thérapeute l'a soignée : dès lors et depuis plusieurs années, les kystes non opérés n'évoluent pas, d'autres n'apparaissent pas. Ma fille vit très bien, elle est solide physiquement et psychiquement, surveillée d'un point de vue rénal, sans traitement médicamenteux.
"On ne soigne pas des maladies, on soigne des malades" me disait un sage au sujet de deux enfants dont ma fille précitée, atteints de la même pathologie avec pourtant de grandes différences.
À l'instar des méthodes pédagogiques de lecture qui conviennent à certains enfants plus qu'à d'autres, les méthodes thérapeutiques n'ont-elles pas les mêmes caractéristiques d'être adaptées à certains malades plus qu'à d'autres ?
La capacité de cette thérapie énergétique à nous guérir, ma fille et moi, nous fait comprendre la chance que nous avons eue d'en avoir connaissance, d'avoir pu bénéficier des traitements qui ont fait merveille. Nous déplorons la méconnaissance ou l'ignorance dans laquelle elle demeure. L'éventail des thérapies de la médecine conventionnelle et des médecines douces serait enrichi par la reconnaissance de la thérapie énergéticienne, savoirs qu'il serait bon de voir s'associer pour notre bien à tous. En raison des échecs de la médecine traditionnelle à mon égard, ma confiance envers cette thérapie est totale.
Je souhaiterais, je demande à ce que la thérapie étudiée et proposée par ce thérapeute soit reconnue, admise et inscrite sur la liste des thérapies médicales, probantes, fondées et concluantes. Elle complèterait et apporterait aux malades demandeurs son lot de remèdes adaptés, salutaires, durables et stables, sans dépendance ni effet secondaire.
Pourquoi s'en priver ? Pourquoi les en priver ?
Je dois la santé à ce thérapeute.
Ma fille lui doit la vie.
Cet éloge lui est dû.
Catherine
En retraite, 67 ans, sans traitement médical
Remerciements pour la guérison d’une maladie d’Alzheimer
Quelques lignes pour vous remercier de cette approche particulière de Soins, que j’ai ressentis comme un éveil ou plutôt "réveil d’attention, de conscience à ces courants d’énergie qui circulent dans le corps et… l’enveloppent
Bien cordialement.
Noémie