Ajouter l’Immunisation par Énergétique à la panoplie des techniques médicales :
est-il possible d’ouvrir un débat scientifique ?
La démarche pédagogique
Ce site est dédié au grand nombre de médecins, infirmières et soignants qui soignent généreusement des malades, et qui cherchent des solutions alternatives efficaces et non intrusives pour le traitement des maladies.
Pourquoi la nécessité de promouvoir l’immunothérapie par énergétique ?
La motivation de créer le présent site-toile du fonds de dotation pour l’immunothérapie par énergétique (FDD-ITE) vient de la conviction que la majorité du corps médical actuel et de ses chercheurs exploitent des raisonnements statistiques, dits scientifiques, prendre en compte les fondements théoriques nécessaires pour leur justesse. Le meilleur exemple en est la recherche pour un nouveau traitement ou un nouveau vaccin. S’il déclenche une grande diversité de cancers ou de maladies auto-immunes, et que ces effets indésirables restent en dessous d’un seuil de vigilance le traitement sera poursuivi sans mesures réparatrices.
Limitation scientifique et aberration économique
D’une part, la grande majorité des projets de recherche se limitent à prendre en compte les lois de la chimie organique sans considération pour les lois sous-jacentes de l’électromagnétisme et de la physique quantique : comment expliquer alors l’attraction d’un anticorps vers un antigène, ou le rôle de la phototaxie, en se limitant à la chimiotaxie ?
D’autre part, l’énorme financement dont bénéficient les centres de recherche privés par les apports de l’industrie pharmaceutique ne visent qu’à imaginer la prochaine molécule miracle au lieu d’un approfondissement de la physiologie. En outre, les médecins bénéficient d’aide pour leurs participations à de somptueux colloques où ne leur seront présentés que de nouvelles perspectives médicamenteuses. Sans parler de certaines compensations financières, ni publiques, ni légales...
Le véritable défaut du modèle économique européen français actuel est que les citoyens paient de lourdes taxes pour subventionner des médicaments largement commercialisés par l'industrie pharmaceutique et indirectement les récompenser. Les Français sont ainsi devenus des gloutons de médicaments, champions européens en ce sens. Et ce sont les acteurs de cette industrie qui en sont les principaux bénéficiaires, notamment avec les maladies chroniques qui finissent par rendre chroniquement dépendants les malades sans leur offrir de réelles solutions.
Pour une physiologie intégrative
La connaissance de la Médecine Chinoise doit être incorporée dans notre savoir occidental.
Il est urgent que la physiologie prenne en compte le flux d’énergie issu de la lumière noire du soleil et de la lune circulant en permanence le long des méridiens du corps des vertébrés, au-delà de sa simple exploitation par l’acuponcture.
Il ne faut pas y réfléchir longtemps pour admettre que, si les Chinois ont découvert cette technique maintenant acceptée en occident du fait de son efficacité, il faudra en arriver à apprendre sérieusement ces réseaux énergétiques et toutes leurs conséquences douloureuses en cas de blocage énergétique (canal carpien, coude du tennis…). Il faudra en arriver à comprendre leur rôle non pas sur des organes mais sur des fonctions corporelles comme le cycle hépato-entérique. Il faudra en arriver à admettre l’utilisation pratique des fréquences des résonances de Winfrid Schumann qui parcourent les méridiens et qui correspondent aux ondes (alpha, etc.) du cerveau, leur impact sur le sommeil, et surtout leur impact en psychologie…
D’autres civilisations comme les Indiens et les Thibétains avaient découvert une autre dimension de l’énergétique avec les chakras révélant chacun des propriétés puissantes de chacune des glandes endocrines (qui produisent des hormones) et dont le rôle est important dans les sensibilités électromagnétiques.
Il est dommage que la plupart des tenants de traitements non médicinaux, n’aient pas cherché à élargir les points de vue pour maîtriser les fondements théoriques nécessaires en immunothérapie. Ils se contentent trop souvent de déclarations pseudo-philosophiques qui peuvent être convaincantes pour le commun des patients (c’est-à-dire souffrants) et peuvent même leur être bénéfiques sans effet placebo et encore plus avec une intervention par énergétique. Par exemple, dans le cas de l’homéopathie qui a jamais envisagé d’expliquer la mémoire du sucrose ?
C’est l’union des connaissances en physiologie officielle et en énergétique qui nous a donné une confiance tranquille et qui nous a permis (FDD-ITE) de mettre en pratique et enseigner, bien avant la disponibilité de tout vaccin, précisément au premier jour du confinement le 17 mars 2020, un traitement pour la guérison ou pour l’immunisation préventive contre le virus Sars-CoV-2. Traitement nommé depuis lors PRIM/D19 (Immunisation préventive), nos équipes l’ont pratiqué sans cesse depuis lors, sans besoin de rappels, ni effets néfastes bien sûr. N’étant pas assez nombreux à savoir pratiquer ces soins, nous avions offert dès mi-2020 à l’ARS d’aider en curatif pour les cas graves au CHU et même au ministre de la Santé ; sans réponse.
Ce premier succès a ouvert la voie vers des immunisations préventives contre d’autres infectants (BCG, HPV…), sans le même sens de l’urgence. L’indifférence officielle néanmoins justifie l’importance de mettre paisiblement cette démarche de traitement non médicinal par énergétique à la portée de tous, quitte à défier le système actuel.
Nous savons en plus vérifier désormais si une personne est bien protégée contre la pandémie, tant par l’immunisation PRIM/D19 que par une vaccination.
Coopération
La fusion de la médecine occidentale, ses médicaments et la science de la biochimie, avec le savoir-faire oriental, l'énergétique et la science de l'électro-magnétisme, est inévitable. Notre motivation est seulement de faire en sorte qu'elle se produise le plus tôt possible, afin d'alléger les souffrances de tant de patients atteints de maladies auto-immunes chroniques, entre autres.
- Par quoi serait-il raisonnable de commencer à court terme et sans risque ? Dès que l’on aborde le cas de la vaccination anti-CoviD les esprits s’échauffent. Les accusations de complotisme s’amplifient au fil des apparitions d’effets secondaires. Il fallait pourtant intervenir contre la pandémie ! La disponibilité d’un vaccin applicable au plus grand nombre est une nécessité indiscutable, mais depuis longtemps les effets secondaires des vaccins par leurs adjuvants et parfois leurs excipients sont connus, ainsi que les modalités de leur éviction par énergétique. Il suffirait désormais que les médecins prescrivent de telles interventions post-vaccinales pour éviter bien des suites néfastes.
On peut rêver à l’union des contraires
Notre choix est de compter sur un changement de paradigme qui ouvrira bientôt cette nouvelle ère, où toutes les lois de la physique seront prises en compte dans les recherches de chimie organique et de médecine, où le traitement non médicinal des maladies auto-immunes sera promu officiellement.
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1 MYD. Septembre-Octobre 2023
2 Par la simple dégradation de la reconnaissance du soi et du non-soi, généralement imputable aux surexpositions à des produits chimiques, Glyphosate ou autres Chlordécone…
3 Les Statines prescrites contre le cholestérol prétendu responsable de l’athérosclérose font tellement de mal que des soi-disant « scientifiques » commencent à publier les vertus de ce médicament contre des maladies cardiaques : la leçon du Médiator n’a servi à rien.
4 « La santé en bande organisée ». Anne Jouan et Pr. Christian Riché. Septembre 2022.
5 Notre référence est le livre de Roland Brandmaier, disponible en Allemand, en Anglais et en Français chez www.treatment-products : « Fausses cibles – Une introduction aux maladies auto-immunes ».
La démarche scientifique
La récente pandémie a été l’occasion de l’attribution du titre de scientifique à de nombreuses personnalités ou organismes qui pouvaient certainement parler de biochimie et de pharmacologie, mais s’avéraient aussi ignares quant aux lois de la physique qu’au respect de la déontologie en pharmacovigilance.
Où est donc la cause du rejet de l’énergétique en médecine ?
Le monde médical se dit scientifique tout en se fondant restrictivement sur la seule science de la biochimie en excluant les lois élémentaires de la physique, comme l’énergie, et d’autres moins élémentaires comme l’électromagnétisme.
Malheureusement les média répètent les mêmes arguments sans chercher à les remettre en cause, ni à tendre l’oreille quand des raisonnements simples sont offerts. Sans vergogne ils déclarent Luc Montagnier gâteux dès qu’il demande la réhabilitation de Jacques Benveniste sur le débat de la mémoire de l’eau.
Le mystère de l’homéopathie
Commençons donc par là. Quand en 1800 Samuel Hahnemann a mis au point sa technique des préparations infinitésimales par percussion-dilution d’une substance diluée dans de l’eau, personne ne pouvait songer à l’explication de cette mémorisation de la substance ramenée à une dose en deçà du nombre d’Avogadro. Il est moins pardonnable deux cents ans plus tard de ne pas admettre qu’il s’agit d’avoir exploité la propriété de mémorisation électromagnétique de l’eau. Il est en effet d’usage quotidien désormais d’effectuer ces préparations infinitésimale ave un simple émetteur de radiofréquences. Il est d’ailleurs amusant d’observer que ni Jacques Benveniste, ni Luc Montagnier ne connaissaient cet usage quotidien.
Ces vibrations qui animent les corps humains
La cécité vis-à-vis des phénomènes régis par les lois de la physique et non de la chimie va de pair en Occident avec l’indifférence envers les connaissances physiologiques orientales, tant le Taoïsme que l’Ayurvédisme. Les premiers ont exploité de longue date les résonances de Schumann (en-dessous de 60 Hz) qui parcourent les méridiens, tandis que les seconds ont exploité les interactions électromagnétiques concernant les chakras et les nadis (entre 300 et 3 500 Hz).
Il est urgent de développer une Physiologie intégrative qui sache expliquer avec cohérence tous les concepts du corps humains, des fondements de l’anatomie jusqu’aux interactions entre organes, chakras et méridiens, par les neurones ou les hormones, etc. ainsi que la relation entre chimiotaxie et phototaxie…
Comprendre comment ça marche
Le protocole utilisé en immunothérapie par énergétique comprend d’une part le test de kinésiologie appliqué, d’autre part le traitement mis au point par Devi Nambudripad pour l’élimination des allergies qui a indubitablement démontré son efficacité. Diverses améliorations lui ont été apportées au fil du temps, mais il faudrait surtout que les raisons de son efficacité puissent être expliquées et enrichissent les connaissances en physiologie intégrative.
La démarche économique
La charge financière des soins médicaux d’une nation n’a visiblement pas un rapport clair avec la santé de sa population. Plus les gouvernants d’un pays sont crédules quant aux affirmations des fournisseurs de produits et services pour la médecine, plus ils le sont quant aux affirmations des fournisseurs de produits chimiques pour l’agriculture. Ceux qui tolèrent d’empoisonner le sol, tolèrent autant d’empoisonner les corps humains.
Quelle est l’alternative aux maladies chroniques ?
Les maladies auto-immunes, qui sont des dérèglements de multiples polarisations de cellules et protéines, peuvent être déclenchées par des produits phytosanitaires, mais ne peuvent pas être guéries par des médications chimiques.
Elles sont déclarées chroniques par le corps médical et certaines de leurs conséquences dont soignées avec de la cortisone, de la Ventoline ou du paracétamol…
Le traitement par énergétique
Cependant, les maladies auto-immunes peuvent être guéries selon les protocoles non médicamenteux de l’immunothérapie par énergétique. De nombreux ex-patients peuvent en témoigner, bien des médecins aussi. Reste à obtenir l’écoute des pouvoirs publics. Le malheur est que s’ils y gagneraient en économies considérables de la Sécurité sociale, ils y perdraient en subsides des industriels fournisseurs des pharmacies.
Observons seulement le nombre de rendez-vous médicaux annuels dans les meilleurs des cas, agrémentés d’analyses de sang et d’IRM rendus inutiles par la guérison.
Mais surtout, prenons conscience qu’il faut que l’immunothérapie par énergétique puisse être prescrite par les médecins traitants, éventuellement après une analyse de sang pour identifier la dose d’anticorps caractéristiques, afin d’éviter les séquelles inexorables quand la maladie auto-immune a trop duré. Combien de personnes vieillissent avec de douleurs et des déformations dues aux diverses variantes de l’arthrose !
En outre, toute maladie dégénérative – comme Parkinson, etc. – est la conséquence d’une maladie auto-immune…
Contradictions
On est en droit de se demander ce que les dirigeants de la haute autorité de santé ont dans la tête a une époque où l’on condamne les fournisseurs et utilisateurs de drogues à fins récréatives, mais où l’on rembourse des médicaments bien pires comme les benzodiazépines au titre d’antalgiques ou d’antidépresseurs.
D’ailleurs, le corps médical promeut une confusion fondamentale en traitant d’équivalentes les déprimes et les dépressions en ignorance totale des enseignements de la psychologie analytique. Une déprime en effet est une tristesse profonde, face à un deuil effectif ou à une perte comparable qui a surtout besoin d’une présence empathique.
Cependant, une dépression est un refus vigoureux par l’inconscient du patient de le laisser prolonger une vie en contradiction avec sa destinée profonde. C’est une crise spirituelle qui ne peut se résoudre qu’au prix d’un changement significatif du mode de vie actuel. Il est vrai que certains sont tentés alors d’en venir au suicide, quoique l’opposition entre l’énergie du conscient et celle de l’inconscient rendent toute prise de décision ardue. Une solution d’urgence peut sembler adéquate en abrutissant le patient avec des médicaments. Une solution appropriée et durable est offerte par la thérapie par l’imaginaire en action (TIA) car l’inconscient dispose d’un mode d’expression par images symboliques qui guident le patient vers sa guérison spontanée. Ici encore une présence empathique peut encourager le patient.
La démarche judiciaire
Le fonds de dotation a dû en venir à demander l’intervention du tribunal administratif de Paris pour obtenir que le ministère de la santé se positionne face à notre demande de recours contre l’abus de pouvoir par un Conseil dit de Protection des Personnes (CPP) puis face à notre mémoire introductif d’instance comme suit.
Ce qu’il faut promouvoir dans le domaine de la santé
Prolégomène pour requérir justice contre l’abus de pouvoir de plusieurs CPP.
La situation présente
Le corps médical et ses gardes cherchent à imposer le principe que des médecins - étroitement formés à n’être que des prescripteurs de médicaments chimistes ou d’interventions chirurgicales – aient l’exclusivité pour le traitement des patients.
L’immense majorité des patients éventuels se précipite en cas de symptômes pour obtenir la prescription de médicaments ou d’interventions contre ceux-ci sans considération pour leurs effets néfastes. Le public français se gave d’antibiotiques sans être alerté sur le risque d’haptènes : le pire n’est donc pas la destruction du microbiote, mais la création d’auto-anticorps difficilement identifiés.
Aucune considération n’est prise en compte pour des mesures préventives, à commencer par l’enrichissement du microbiote et la consommation d’aliments qui évitent les causes de symptômes perçus.
La conséquence actuelle
L’aptitude du système immunitaire des patients à bien reconnaître le Soi physiologique et le Non-Soi est dégradée par la pollution de l’atmosphère, par la pollution des aliments (ls pesticides et fongicides agricoles), par les chocs violents et par les infectants.
Les maladies auto-immunes et les cancers se multiplient en conséquence, et leurs traitements chimiques sont associés à de violents effets néfastes.
Le cas de la pandémie CoviD-19
Le Fonds de Dotation pour l’Immunothérapie par Énergétique (ITE) s’était assuré qu’une solution simple était disponible dès la décision de confinement du public. Les patients traités contre cette infection ou immunisés préventivement par le protocole PRIM/D19 n’avaient donc pas besoin d’être vaccinés. (Il va sans dire que nous sommes clairement anti-complotistes car il est d’irresponsable de s’opposer à une solution – si ambigüe soit-elle – si l’on n’a pas mieux à offrir.)
Surtout le discours officiel d’un besoin d’une grande dose d’anticorps neutralisants était une supercherie puisque le besoin le plus grave est de leucocytes aptes à détruire autant les cellules infectées que les virus et virions du Sars-CoV-2.
Pour une vaccination maîtrisée
Au lieu de prétendre en l’absence d’une pharmacovigilance sérieuse que les vaccins à ARN messager étaient inoffensifs, il fallait mettre en place – comme recommandé par le FDD-ITE – une détoxification contre les adjuvants cancérigènes et contre les protéines pathogènes dont la production était déclenchée par ces vaccins.
De nombreuses atteintes auto-immunes ou cancéreuses des patients vaccinés auraient pu ainsi être évitées. La diversité de ces cas d’effets néfastes ne permet pas de déclarer que ces vaccins étaient d’une nocivité particulière.
Empêcher de prouver ce qui précède
Les CPP (Conseils de Protection des Personnes) se sont comportés en Conseils de Protection de la Profession au détriment de la reconnaissance du besoin d’un enseignement médical rénové – prise en compte de l’énergétique selon les méridiens et les chakras ainsi que des lois de l’électromagnétisme affectant l’eau -. Il faudrait sûrement permettre alors la prescription par les médecins de traitement selon ITE (l’immunothérapie par énergétique).
L’appel pour recours auprès du ministre
On reste songeur qu’un ministre de la Santé se disant atteint par la maladie auto-immune de Guillain-Barré, si fréquemment guérie par ITE, se contente de la position officielle des tenants du tout chimique et accepte la qualification de maladie chronique.
On reste songeur quand on pense à toutes les souffrances laissées ainsi non-guéries et le coût exorbitant pour la sécurité sociale et les mutuelles.
On comprend par contre l’intérêt des fournisseurs de produits pharmaceutiques dans la crédulité du public à vouloir plus de médicaments et la limitation des médecins à ne prescrire que des traitements chimiques ou des interventions chirurgicales.
ITE devrait avoir droit de cité au même titre que les Kinésithérapeutes et la preuve pourra être faite selon les procédés par ImmunoTest (de Immunoserv LtD) dès leur autorisation par les officiels du corps médical.
Michel Depeyrot
Docteur PhD. Stanford
Président FDD-ITE
24/11/23
La démarche judiciaire
La démarche audacieuse
Déclaration de position sur des infections complexes
Deux traitements de maladies méritent d’être présentés clairement car elles sont causes de beaucoup de souffrances et de dégradations lentes du corps. De telles menaces pour la santé doivent être testées dès le début d'une thérapie et être traitées immédiatement selon l’immunothérapie par énergétique.
Proposition de traitement de la mononucléose
Dans le cas d’une mononucléose, il est indispensable pour la santé du patient de tester, dès le début d’une thérapie selon l’immunothérapie par énergétique, afin de vérifier si l’infection par le virus d’Epstein-Barr (EBV) est lytique ou lysogénique.
Une mononucléose est due à l'infection unique du laryngopharynx par le virus d'Epstein-Barr (EBV), un virus à ADN de la famille de l'herpès.
Le cas le plus simple est celui d'une infection lytique, le virus ayant projeté son ADN dans le cytoplasme de ses cellules cibles, les lymphocytes B. Elle provoque une fatigue profonde et durable due au fait que le système immunitaire doit tuer certains de ses propres effecteurs, ce qui doit être effectué par des cellules sanguines différentes, à savoir les cellules tueuses naturelles (NKC) avec une forte dépense d'énergie.
Le cas le plus difficile est celui d'une infection lysogène, où le virus a jeté son ADN dans le noyau de ses cellules cibles, les lymphocytes B, et son ADN reste inséré dans l'ADN de la cellule B. Les cellules B fraîchement produites par l'hématopoïèse sont facilement contaminées et le système immunitaire est durablement perturbé. La traduction de l'ADN en ARN dans les cellules B est faussée. Cet état se traduit typiquement par un lymphome.
La guérison dans les deux cas commence par le traitement de l'EBV à l'aide de la série Antivirus (un supervial éprouvé contre le Sars-CoV-2). Les co-infectants fréquents de la mononucléose, Cytomégalovirus (CMV) et VZV, sont généralement à éliminer en même temps.
Ce traitement n'est pas nécessaire lorsque le patient a terminé sa mononucléose, car le but est d'activer les lymphocytes à mémoire antigénique de l'EBV.
Éviction de l'EBV des lymphocytes B
L'hypothèse lysogénique est que l'EBV continuera à infecter les cellules B nouvellement produites par l'hématopoïèse en cours, à moins que celles-ci ne soient protégées suffisamment longtemps pour que les cellules contaminées soient mortes et/ou détruites par les cellules tueuses naturelles. Cela nécessite l'équivalent de leur régulation énergétique descendante par les stéroïdes naturels et la testostérone comme agents d'accompagnement.
Notation : en supposant que le nombre maximum de copies de fioles d'agents compagnons doit être de 13 au départ et le minimum de 8 à la fin.
EBV\ (Stéroïdes naturels + Testostérone) [8 ; 13]
Identification des antigènes par "mimétisme", victimes de la confusion
Les antigènes endogènes sont des protéines corporelles portant le même épitope que celui choisi pour leurs anticorps par les lymphocytes anti-EBV comme cible de leur paratope (une sorte d'image miroir de l'épitope).
Dans le cas de la sclérose en plaques, les cellules MOG (Myelin Oligodendrocyte Glycoproteins) sont devenues des cibles à détruire, puisqu'elles sont pointées, par une malheureuse coïncidence, par les immunoglobulines dirigées contre l'herpès virus EBV.
Cette situation est appelée mimétisme ou confusion d'épitopes.
Les tests psychomusculaires indiquent que les IgG et éventuellement les IgA ainsi que les IgM, sont en pleine activité. L'analyse sanguine peut servir à le confirmer (voir Ganzimmun).
Les combinaisons d'immunoglobulines et de leurs cibles endogènes – dites appartenant au « Soi » – doivent être traitées comme des allergies pour la tolérance auto-immune par le processus d'élimination des auto-allergies (EAA).
Une explication de son fonctionnement peut nécessiter le modèle traditionnel de pharmacologie avec la clé dans la serrure, selon lequel les épitopes attirent les paratopes par des forces électrostatiques et agissent comme un verrou sur une membrane cellulaire : l'autre modèle acceptable vient de la physique quantique et exige que les épitopes et les paratopes identiques aient des spins opposés pour s'attirer. Dans les deux cas, un traitement par l'énergie peut agir par une interaction électromagnétique pour dépolariser l'attraction des anticorps vers le Soi.
Noter que toute vaccination, ou même tout mécanisme naturel d'accumulation de défenses, pourrait potentiellement aboutir à une caractérisation aussi ambiguë des antigènes. Les haptènes peuvent également provoquer cela. L'ampleur de ce risque est inconnue à ce stade. Il semble que les MOG soient des cibles probables, comme elles le sont également en cas de sclérose en plaques due au vaccin contre l'hépatite B. Deux autres protéines des oligodendrocytes pourraient également être victimes de mimétisme : la MBP (Myelin Basic Protein) et la MAG (Myelin Associated Glycoprotein). Un autre antigène de l'EBV entraîne l'apparition d'auto-anticorps : EBNA1.
Les séquelles dont souffre le patient peuvent avoir à être réparées
C'est le stade le plus difficile. À présent, les IgA, IgM et IgG ne sont plus actifs. Laisser passer le temps pourrait être la solution appropriée, mais nous n'avons aucune idée du temps que cela peut prendre.
Le mimétisme des épitopes peut en effet concerner des protéines sur les membranes du microbiote, et ces co-victimes déclenchent l'activation des lymphocytes qui vont envoyer des anticorps le long des neurones jusqu'au cerveau du patient et ceux-ci vont se coller sur les membranes de la myéline. Les cellules tueuses myéloïdes seront facilement attirées par ces anticorps pour procéder à la destruction des oligodendrocytes.
Nous devons finalement au Dr. Michel Geffard (Inserm Bordeaux) d'avoir documenté le cycle de l'IDO et de nous avoir transmis les fioles indispensables pour réinitialiser ce cycle.
Un autre cycle de ce type est parfois impliqué, à savoir le cycle SAM, selon les séquelles et leurs douleurs, mais le raisonnement peut aider, par exemple, le cycle de Krebs pourrait être pertinent pour le diabète, etc.
Les allergies à toutes les substances de chaque cycle et à leurs combinaisons doivent être traitées.
Note
La même procédure globale doit être envisagée pour les autres virus de la famille Herpès : Herpès Simplex virus, Herpès type 8 Virus, Cytomégalovirus et Varicella Zoster pour commencer. Le premier est connu pour sa confusion avec les enzymes "acide glutamique décarboxylase" (GAD) et parfois aussi glutamate carboxylase.
Proposition de traitement de la maladie de Lyme
La mode est aux exposés sur les maladies dites de Lyme, alors que la tradition médicale suggérait qu’on attribue un nom de maladie à un syndrome clairement diagnostiqué. Ce n’est pas le cas ici.
Il y a en effet autant de différentes maladies de Lyme qu’il y a de piqûres par des tiques, ce qui n’empêche pas de les aborder rationnellement avec de bonnes chances de succès par une démarche énergétique.
En effet, chaque piqure de tique inocule une combinaison spécifique d’infectants (appelés agents pathogènes : bactérie, virus, parasite, fongus) à une victime dotée d’un système immunitaire et d’un état de santé spécifiques. Un ensemble d’interactions propres à cette paire tique-victime est alors enclenché, avec des excès d’énergie pour certains infectants (allergies) et des manques pour des cellules immunitaires (anergies). Un patient déjà en surplus d’auto-anticorps, de métaux lourds et de toxines ne s’en sortira pas aussi bien qu’un autre doté d’un bon microbiote. Cela dépend aussi des sélections, par leur propre système immunitaire, d’antigènes ciblés par leurs récepteurs des lymphocytes B et T.
La pratique du test de kinésiologie appliquée, neuromusculaire ou psychomusculaire, permet de commencer par identifier l’implication de chacune des grandes familles d’infectants (bactérie, virus, parasite, fongus, c’est-à-dire moisissure et levure).
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Si le patient est affecté d’une infection fongique comme avec une candida, un traitement par antibiotiques doit absolument être évité.
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En outre certains infectants résistent à tout traitement en se protégeant par des biofilms, comme les borrélioses et les staphylocoques à l’abri des antibiotiques.
Le corps pour se défendre va rapidement émettre un grand nombre d’anticorps, mais les leucocytes peuvent avoir été mis en état d’anergie et ont besoin d’une stimulation adaptée à chaque type d’infectant.
Il ne suffit pas de traiter l’allergie des infectants.
Or dès que la victime a reçu une injection d’une variété d’infectants d’une tique, son aptitude à la reconnaissance du soi - devant assurer que les lymphocytes n’attaquent pas leur propre corps - est réduite bien en deçà d’une tolérance saine, de sorte que certains anticorps deviennent auto-anticorps. La victime est dès lors affectée d’une maladie auto-immune qu’il est urgent d’enrayer, ce que justement permet l’Immunothérapie par Énergétique (ITE) avec son protocole d’Élimination des Auto-Allergies (EAA).
Chaque infectant peut ensuite être traité via sa fiole en tant qu’allergène en mélange avec la fiole de l’anti-infectant correspondant (Anti-Bactérie pour la borréliose) et avec la fiole d’anti-biofilm au besoin.
Cependant des complications doivent être envisagées systématiquement :
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Une borréliose peut échanger des plasmides avec l’ADN d’autres bactéries. Il faut alors identifier les bactéries co-infectantes et les traiter en même temps.
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Le parasite Babésia est souvent injecté aussi par une piqûre de tique (à traiter avec la fiole Antiparasite.
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Un fongus, moisissure ou levure comme candida, peut avoir été injecté et requérir le traitement avec la fiole Anti-Fongus.
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Deux virus du genre Herpès sont parfois injecté par une tique, celui d’Epstein-Barr et le Cytomégalovirus et une situation des plus urgentes est celle de l'encéphalite à tiques, causée par le virus dit TBEV, un membre du genre Flavivirus. Il faut alors s’assurer que le patient n’est pas concerné par l’anticorps Anti-Interféron type I et traiter en mélange avec la fiole Anti-Virus.
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En outre, un virus d’Epstein-Barr peut avoir injecté son ADN dans l’ADN des lymphocytes B et infecter durablement tous ceux-ci, les empêchant de fonctionner correctement. Le protocole de réarrangement clonal en régulation descendante par énergétique a pour ceci fait ses preuves.
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Des antibiotiques peuvent avoir déclenché la production d’haptènes à traiter comme un syndrome auto-immun.
Accessoirement, on peut s’assurer qu’il y a eu vraiment une piqûre de tique en testant si le patient est allergique à la protéine de salive de tique, dont il est bon aussi de le soigner.